Les Crips

Vargas avait lui aussi pris une chaise en attendant que ces hommes reviennent avec les pièces que Denzell avait demander. Lorsque l'échange fut fait, il se leva et salua Denzell d'un signe de main.

"J'éspère que nous referons affaire un jour. oh et tenez, avec ça vous n'aurez aucun problème de la part de mon gang."

Vargas lui tendit une petite plaque métallique sur laquelle était écrite : En affaire avec les Orlocks. Puis il se dirigea vers l'apartement de Hurricane, sa journée ne faisait que commencer.

Nombre de messages : 20 Age : 37 Race : dreamer Date d'inscription : 20/06/2006

Denzell fixa la petite plaque de métal et sourit. Il la glissa dans sa poche et sortit en saluant le commerçant.

A peine avait il franchi la porte qu'il avait oublié Vargas Hurricaine et les autres. Il ne pensais plus qu'à rentrer chez lui pour utiliser les nouveaux objets qu'il venait d'acquérir.

Il passait dans les ruelles quand soudain deux jeunes adolescent lui sautèrent dessus en criant. Tout d'abord surpris il lacha son sac et ne put que se protéger du premier coup de couteau.

La surprise passée il riposta. Son bras droit exécuta un parfait arc de cercle vers le ventre du gamin. Les lams le percutèrent et l'ouvrirent comme un couteau dans du beurre chaud. Le sang jaillit maculant la tenue de Denzell.

L'autre Assaillant oubliant son ami se précipita sur le sac et essaya de le soulever pour partir avec. D'un geste précis Denzell attrapa sa lame de commando à sa ceinture sur les reins et l'envoya dans le dos du gars. La lame se planta entre deux vertèbres sectionnant la moelle épinière. Le gamin émis un hoquet et s'effondra, secoué par de violent tremblement.

Sans un regard pour l'homme qui avait voulu le voler, il récupéra son couteau arrachant à cause des échancrures un morceau de viande et le nettoya sur sa tenue. Puis le rangea.

Que tes Rêves soient en Paix... Je pense que je vais aller faire un tour aux ruines avant de rentrer... on ne sait jamais.

Il reprit son sac laissant là les deux jeunes, n'y pensant déjà plus. Tel était la lois de ce monde. Survivre à tous prix.

Timidement, Sekhmet arriva dans la zone où les Crisp avaient l'habitude de refourguer des marchandises de provenance douteuse.
*Ils ne peuvent pas ne pas avoir de tabac!*
"Hum salut!"
La présence de Dzrelfjen avait quelque chose d'incroyablement rassurant.
*Promis, je lui rends la pareille dès que je pourrai.*

Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 19/06/2006

Dzrelfjen analysait les lieux rapidement comme à son habitude, et cela tenait plus de la curiosité que de la méfiance.

°Voilà que je l'accompagne pour faire ses courses...°

Ca n'avait vraiment rien de tres romantique d ailleurs...

PNJ!!!

L'homme se tenait droit adossé contre un mur.... il vit les 2 personnes et commença à s'approcher d'elles...

'jour , j'peux qu'que chose pour vous ?

Une troisieme personne arriva dans le dos de celles déja presentes . Silencieusement, il se plaça derriere elles.

Je viens acheter une arme.

L'endroit était plûtôt mal famé mais celui qui l'attaquerait en le prenant pour un adolescent sans défense risquait fort de commettre la derniere erreur de sa vie.

Sekhmet sourit au vendeur pnj (^^) avant de sortir une liste de ce qu'il lui fallait.
"Alors bon, il me faut: du 9 mm Para pour mon beretta, des munitions pour mon barrett calibre 50, une nouvelle crosse pour cette même arme et un paquet de cigarettes..."
La jeune femme énonçait tout cela sur un ton qui aurait pu servir à faire ses course dans le marché du coin pour demander des fruits et des légumes.
"Je crois que c'est tout...^^"

Kemnam attendit patiemment que la jeune femme devant lui ai fini de commander et s'adressa au "vendeur" si l'on pouvait appeller sa comme sa pour lui acheter l'arme qu'il désirait.

Une arbalète d'un puissance de 500 joules avec lunette de visée x 4.5 et la centaine de carreaux qui va avec, un étui et un kit de démontage pour celle çi avec une demie douzaine de cordes de rechange

Il crus bon d'insister devant l'air ébahi du vendeur.

Oui une arbalète ! Je paye cash.

Effectivement, il manquai a Kemnam une arme de jet pour eliminer le plus de monstres posssible avant de les attaquer au corps a corps. L'arbalète offrait le double avantage d'etre silencieuse et precise grace a sa lunette....
Le traqueur s'appuya contre le mur a deux pas de la en attendant sa commande.

Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 19/06/2006

°Et une plaquette de beurre et 3kilos de farine...°

Dzrelfjen se contenta de sourire pour lui-même et préféra ne rien dire, il n'était pas toujours bon de plaisanter avec quelqu'un qui venait de refaire son stock de munitions.

Hj : Bon navré mais je fait mes courses moi même ^^

Kemnam reçu enfin son arbalète et l'accrocha dans son dos en passant la boite contenant le restant du matériel sous son bras. Le prix demandé était exhorbitant mais le traqueur paya sans sourciller. Cela en valait la peine songea t'il.
Alourdit de ses achats et soulagé d'une bonne liasse de crédit, il pris la direction du Qg des patrouilles sans jeter un regards aux autres "clients"

HJ:désolée, je vais faire la même chose que Kemnam, c'est trop long pour une simple réponse.
La jeune femme reçu ce qu'elle avait demandé après l'autre homme.
*Bonjour la galanterie^^'*
Avec une grimace étrange, elle paya ce qu'elle devait au vendeur.
*La vie evient trop chère!*
Puis, elle se tourna vers Dzrelfjen en souriant.
"Je vous emmene chez moi maintenant, il faut que j'aille chercher mon matériel."
*Finalement, il est plus sympa que ce que je croyais.*

Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 19/06/2006

°J ai l'impression de faire partie de ses bagages... Et ce bazar c'est pas son matériel?°

Il acquiesca sans grande conviction, légèrement agacé par leur trop longue attente...

°Elle m'invite chez elle? Elle fait ça avec tous les inconnus qu'elle croise ou quoi?°

Sans trop se soucier de l'agacement de son chef de patrouille, Sekhmet partit en direction de son appartement.
*J'aurais dû faire du ménage avant d'emmener mon chef chez moi, c'est pas super propre.*
Sur ces préoccupations franchement vitales, elle se dirigea vers ce qu'elle considérait comme sa maison.